C’est pas difficile et çà peut les aider
Merci
Année 2014
Tu n’est pas seule ma belle
Marius
Val
Je suis venu prendre le café que tu m’offrais, et aussi rendre hommage à Lady, quel merveilleux travail tu fais, tu sais à quel point je suis fier de toi de ton mari et de ton fils, je suis avec vous dans cet épreuve mais ça tu le sais. Je vous salues aussi Patou et Valou. Encore un peu de temps et les roses envahiront le jardin, tu poseras une fleur près d’elle en plongeant dans ton coeur tu posera ton regard doux dans ses yeux, et là tu pourras lui dire Adieu.
A la maternité lorsqu’on me l’a ramené au bout de 8 jours…
ma santé ne permettait pas qu’il soit près de moi
Le jour de son baptême avec son chien
(qui est toujours chien pour les enfants que je garde)
Photos enlevées par respect
Nous sommes fiers de toi mon fils
Merci les zamis il m’a dit de vous embrasser fort lol
Merci à toi aussi ma Patou et aussi Doumé
… loin au fond des bois, un pays nommé :
« pays secret ».
On chuchotait, on supputait, on imaginait, mais la réalité était pire…
sorcières, mauvais génies,
s’y retrouvaient,
y complotaient,
y manigançaient.
Humains passez votre chemin,
Ne vous arrêtez pas,
N’essayez pas de percer les secrets des potions magiques !
Tout autour, les crapauds coassaient, bavaient,
les araignées tissaient leurs toiles !
Dans toutes les contrées avoisinantes, on tremblait.
Que se passait-il là-bas au fond des bois ?
Bientôt le grand sabbat des sorcières, bientôt…
Dans les campagnes, on s’agitait, on réfléchissait…
La récolte des citrouilles battait son plein quand une idée fusa.
On creusa, On découpa, On sculpta…
On choisit de grandes perches,
On plaça des bougies dans les potirons,
qui devinrent dans la nuit noire des têtes d’épouvantes !
Emmitouflés dans de grandes capes noires,
les villageois brandirent leurs perches garnies des potirons,
transformés pour l’occasion, en monstres flamboyants !
Frappant des pieds, ils se mirent en marche,
pour encercler, là-bas, au fond des bois, le pays de l’horreur !
quelle ne fut pas leur surprise, d’entendre des chants,
de voir s’écarter devant eux , les branches, les ronces et les taillis.
Ils se laissèrent guider, pousser,
par une force qui les conduisit vers une clairière
où brûlait un grand feu.
Tout autour, sorciers, magiciens,
génies et lutins dansaient et chantaient pour accueillir les humains.
Bienvenue à vous !
Pour Halloween
Le savez-vous
Nos pouvoirs vous sont donnés !
Jetez des sorts,
Amusez-vous
Mais Méchanceté n’utilisez jamais,
Car Au pays des secrets
Enfermés vous serez A tout jamais !
Une journée, une seule, Vous est accordée !
Halloween est né !
Tant de ressemblance,
Mais tant de différence,
l’amour traverse les âges,
La haine emporte les âmes,
La vie nous rend sauvage,
et l’enfance nous arme
Tel les chevaux,
dressés pour la course,
le temps, nos rivaux,
nous poussent à une course
Mais que devient l’amour?
Entre deux galops…
peut-être avoir un toujours ?
Somme nous si sot,
toujours empressé et indéterminé.
oublions nous de rêver ?
Sauvage est souvent notre coeur
courageux, mais empressé,
Sommes nous devenus esclave,
D’une course inachevée,
Sommes nous devenus orage,
d’une terre ensanglantée,
Sommes nous seulement ardeur,
d’être désenchanté,
Mon doux poney si petit,
mais si vrai,
Mon doux poney
Plein de vie,
et si gai,
Aucun étalon,
n’est à ta taille
mon petit démon,
tu gagnes toute les batailles,
Un corps de centaure,
pour coeur d’ange
au delà des songes,
tu vaux de l’or
A jamais je te respecterais,
car ton coeur
malgré tes douleurs
est sans méfait
Ce poème est écrit par Philippe
Dévembre